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Du képi à l'hermine
René PAGIS, issu d’une famille d’agriculteurs cantaliens, occupe sa retraite en écrivant et
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Le chapeau de Tim
Dans ce second roman, Didier GOUZOU-THÉODORE s’inspire du voyage qu’il a effectué
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Antonio, le cousin d'Espagne
Retraité, 64 ans, je suis passionné par l’histoire
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Un regard sur les 100 ans du Stade Jean Alric
Jean Bessière est né à Aurillac en 1951. Les dimanches de son enfance
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Pierre et Célestine
Malé nous disait que nous trouverions des trésors dans cette maison. Parlait-elle des lettres, des factures et autres brochures qu’elle n’avait jamais jetées ? Je ne sais, mais grâce à elle, et grâce au vivant témoignage de Geneviève, reconstituer l’histoire de ce couple, saisir leur volonté d’émancipation est devenu possible.
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Destins de Poilus
Après avoir publié trois chroniques quotidiennes sur les soldats nord-cantaliens morts pendant la Grande Guerre (1914, 1915, 1916), l’auteur, Gilles Vidal, enseignant au Lycée de Mauriac (Cantal) a choisi dans ce nouvel ouvrage de revenir sur le sort particulier de quelques-uns d’entre eux et de leur redonner vie. « Destins de poilus », ce sont dix petites histoires tragiques mais un peu romancées de soldats cantaliens emportés par la Grande Guerre. En effet, parmi les quelques 3000 soldats dont le nom est gravé sur la pierre des monuments nord-cantaliens de 1914-1918, quelques uns ont donné sens à ce petit recueil : De René LAVAL, le premier tué figurant sur un monument cantalien (tombé dès le 9 août 1914) à Noël ALBESSARD, l’intrépide Hussard tué sur le pont de Feuillères, en passant par Marius LÉOTY, l’opérateur de cinéma originaire de Champs-sur-Tarentaine, chacun, à sa façon, a suscité ces petites enquêtes historiques un brin romancées. Ces récits nous laissent imaginer, plus de cent dix après, l’état d’esprit, les souffrances et les choix mêmes auxquels furent confrontés ces hommes de milieux sociaux et d'âges différents. Au fond, tous nous questionnent aussi sur ce que nous aurions été dans les mêmes circonstances. Le livre renferme une exception : celle d’Antoine MANAT, un cas ultime, absent des monuments car Non Mort Pour la France… Je n’oublie pas les autres, leur mémoire plane quelque part sur nos village
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Trois nids d'hirondelles
Survivre sur ces rudes plateaux de Margeride en exerçant la profession de berger de village dans les années 1900 représentait un pari difficile.
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Au vent des Crépuscules
Où s’en va-t-il mon cœur
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Les aventures de Tiluit
Il était une fois, un petit merle blanc qui habitait une très belle région de France.
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