ALAIN FORESTIER

Alain FORESTIER mêle habilement réalité et fiction. Dans un récit aux nombreux rebondissements,

Je veux rendre ici hommage à ces femmes de l’ombre, souvent dénigrées, sous-payées, dont le mérite n’est guère reconnu. Appelées pompeusement « Techniciennes de surface » les femmes de ménage sont des travailleuses fantômes effectuant des tâches ingrates à des horaires atypiques.
Soumises parfois à des employeurs sans scrupules, leur vie est une bataille de tous les instants.
Annette, mon héroïne, parviendra-t-elle à surmonter les épreuves qui vont lui être imposées ? Réussira-t-elle à mettre fin aux pratiques immorales de sa patronne et la faire condamner pour tentative de meurtre ? La force de l’amour renforcera-t-elle sa résilience au point d’en sortir victorieuse ?
Les réponses sont dans ces pages, je vous invite à les découvrir et à venir partager l’imaginaire de son auteur.

Que l’on soit maire d’un village et avocat réputé dans sa région n’empêche pas de succomber à la passion

Dans un décor grandiose, une forteresse médiévale est habitée par ses propriétaires, la famille de Saint-Clair.
On y trouve une magnifique serre à papillons.
Y vit une châtelaine aux mœurs dissolues, Clotilde.

Une et un cantalous, Yvette et Alain, les semelles crottées à la terre de leurs ancêtres, amoureux fous de leur coin d’Auvergne, ont ensemble décidé de suivre Pierrot à la découverte de cette région,

Ce roman nous entraîne au-delà du réel. L’auteur libère son imagination en creusant dans ses souvenirs d’enfant. Le marais du Cassan deviendra le théâtre d’une incroyable aventure dont les révélations engagent l’avenir de notre civilisation.

L’auteur révèle la partie ignorée de la vie de Joseph Louhac, agent d’entretien des voies, qui traversa les deux Guerres Mondiales au cœur de l’aventure ferroviaire du Massif Central.

Revisiter son enfance avec ses yeux d’adulte, n’est pas chose aisée. Retrouver les sensations d’antan, se mettre à creuser dans la carrière des souvenirs non plus. Ce livre retrace l’histoire de l’école Albert d’Aurillac et de la décennie dans laquelle j’y fus l’élève.

Deux femmes s'aiment dans notre société où, pensons-nous,les tabous tombent les uns après les autres. Les idées et les moeurs progressent à grands pas.