Catégorie-01

Ouvrage collectif : 18 nouvelles de 16 auteurs différents.

J’ai écrit ce livret pour laisser une trace après mes rencontres. Il veut être l’outil pour tous ceux qui désirent prolonger leur réflexion et aussi un « AMI » à consulter dans des moments difficiles en regard de choix importants.
Einstein a dit « Aucun problème ne peut être résolu sans changer l’état d’esprit qui l’a engendré. »
Par son action, la pédagogie de « l’éthique » participe au changement de l’état d’esprit de chacun de nous, de nos mentalités, condition incontournable pour que nous trouvions les bonnes réponses à nos dysfonctionnements et à ceux de ce monde.
Je n’ai pas la prétention d’apporter la Vérité ; au mieux, j’essaie d’être vraie.
Ce n’est pas non plus un recueil de méthodes ou de recettes, mais avant tout un témoignage, une philosophie de vie, de management ; à chacun de s’approprier ce qui lui semble important.
Je vous en souhaite une bonne lecture. Merci de m’avoir permis de vous dire Merci.

« Tu me dis, j’oublie. Tu m’enseignes, je me souviens.
Tu m’impliques, j’apprends. »

Benjamin FRANKLIN

Notre héros refuse une existence monotone et banale. Par ambition, et pour ressembler aux héros de son enfance, il se fait escroc. Mais attention : un escroc qui ne vole que plus filou que lui ! Certes, il ne choisit pas la voie la plus facile, mais ne dit-on pas : " A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire " ?

Notre héros ne parvient pas à trouver la sérénité ! Il aspire au repos, qu’il ne pourra gagner qu’après un ultime combat. Il a le sentiment tenace d’être aux mains de forces supérieures, qui se jouent de lui. S’il est prêt à affronter l’adversité, il ne conçoit cependant pas de mener cette bataille décisive sans avoir tous les atouts en mains.

Ce sont des poèmes courts, soigneusement préparés et mis sur une feuille de papier pour témoigner toute notre affection en souvenir de bien des choses.

Le choc a été rude ! Privée d’électricité et de télécommunication, la population a du affronter la désorganisation, la pénurie et un isolement complet. Au début, l’espoir d’un retour à la normale a tenu lieu de ciment collectif. Mais à l’approche de l’hiver et une fois les barbares vaincus, il a fallu se rendre à l’évidence : le retour à l’ancien temps est désormais illusoire.

Une fois ce constat établi, peut-on se contenter de survivre ou faut-il se lancer de nouveaux défis ?
Dans ce second volet on retrouve certains protagonistes des années plus tard, muris par l’expérience ou ayant simplement grandi. Ces hommes, mus par la nécessité ou une force intérieure, partent explorer un nouveau monde, immense et inhospitalier, dont les frontières débutent à leurs portes. Leur quête sera-t-elle fructueuse ?

Est-ce une coïncidence si Jean-Louis W. Mauré se pose tant de questions l’année de ses cinquante ans ? Entre deux romans l’auteur ressent le besoin d’exprimer ses doutes, de chercher au-delà de la réalité apparente. Mais il se garde le beau rôle : s’il soulève les questions, il vous laisse le soin d’y répondre par vous-même !

Imaginez une journée entière sans téléphone ni appareil électrique qui fonctionne ! Au deuxième jour, c’est la crise de nerfs assurée. Et si cette panne généralisée durait une semaine ? Comment s’organiser pour tenir sans machine à laver, pour s’occuper sans télévision ni ordinateur ni internet et se résigner à devoir jeter tout le contenu du congélateur ?