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Au pied du puy Violent, dans une vallée perdue du Cantal, une petite vache prend conscience que lorsqu’un prédateur s’attaque à un troupeau, c’est
la panique qui s’empare des bêtes qui est dangereuse, pas le carnivore !
Et de témoigner, envers et contre tout et tous, que ce qui fait l’humanité, ce n’est pas la lutte pour la survie, mais l’amour de la vie elle-même.
Un troupeau de Salers ne peut pas aller « là où même les chamois ne vont pas… » Une allégorie roborative en ces temps de pandémie.
